à l’attention de Mesdames et Messieurs
les adhérents, amis et correspondants
de l’Association nationale pour la protection
de la mémoire des victimes de l’OAS (Anpromevo) –
Paris, 24-XI-2013
À la date de ce jour, ce sont seulement quelques sites Internet spécialisés – tels Decitre, Evene, L'Arbre à Lettres et Cultura – qui évoquent d’ores et déjà la parution prochaine (1er janvier 2014), aux Éditions Tirésias (dans la collection "Lieu est mémoire"), du dernier ouvrage de Delphine Renard intitulé "La grande maison de brique rose" (sous-titre : La mémoire blessée dans l’attentat de l’OAS contre André Malraux, 1962).
Le descriptif proposé est le suivant :
Delphine Renard retrace ici l'aventure d'une maison hors du commun, véritable concrétion de l'histoire de sa famille, où elle-même a grandi et qui fut marquée par la présence d'André Malraux entre 1945 et 1962. Jusqu'à ce qu'explose une bombe posée par l'OAS le 7 février 1962, peu avant la signature des accords d'Évian (18 mars 1962) et la fin de la guerre d'Algérie. La petite Delphine, âgée de quatre ans et demi, y fut grièvement blessée.
Elle a retrouvé des correspondances et journaux intimes de ses grands-parents et d'autres personnages qui furent à l'origine de la construction de cette étonnante maison des années trente, d'allure vaguement hollandaise, située entre Roland-Garros et le Parc des Princes en bordure de Paris. Elle montre comment se tissent les destins de ceux qui viendront à en être commanditaire, propriétaire et habitants, en passant par l'inévitable occupation allemande.
L'histoire d'une famille tourmentée s'y joue, faite de drames, de secrets d'alcôve mais aussi de grandes passions.
Je vous recommande de vous procurer ce livre dès que possible auprès de votre libraire ou, directement, auprès des Éditions Tirésias. Il correspond en effet pleinement à la vocation de la collection "Lieu est mémoire", consacré qu’il est à une maison à la destinée historique appelée à abriter un ministre du général de Gaulle et cible de l’un des plus odieux attentats terroristes commis en métropole au nom de l’Algérie française.
Recevez, Madame, Monsieur, l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Jean-François Gavoury
Président de l’Association nationale
pour la protection de la mémoire
des victimes de l’OAS (ANPROMEVO)