Le 19 mars 1962 fut crédibilisé par le référendum du 8 avril 1962, par divers sondages et 99,8 % des communes ont respecté la loi du 6 décembre 2012. Pour les autres les préfets étaient là !!

HONTE !

Comments

[David_Levy]

La dernière phrase a retenu mon attention et je vous dis pourquoi.


Nombreux sont les PN qui n'ont rien à se reprocher reviennent en masse en Algérie, dans leurs quartiers d'enfance, où ils sont accueillis avec des youyous de
joie.


Par contre, d'autres , ne voudront et ne pourront jamais y remettre les pieds , bien que les victimes d'hier  - à savoir les Algériens ont carrément
tourné la sanglante du passé dès le cessez-le-feu du 19 Mars 1962.


Ceux qui ont la conscience perturbée , la  conscience agitée par le sang des Algériens qu'ils ont fait couler  de la façon la plus sauvage, sont
ceux qui s'agittent actuellement et  donnent libre cours à leur fantasme.


Ceux là , il est clair que ce sont là leurs derniers soubresauts avant que la bête immonde s'affale une fois
pour toute.


Que ceux là sachent et comprennent une fois pour toute, que la majorité des PN a pris conscience d'avoir été bernés par des gens qui se sont avérés être des
criminels en qui ils faisaient confiance. (allusion , bien sûr, à la sinistre organisation des  animaux sauvages appelée : OAS )


Que ceux là sachent et comprennent une fois pour toute que , dans toute partie à deux , il y a toujours un gagnant et un perdant. Ceux là, ont joué et perdu
et ne veulent pas reconnaître - par faiblesse - avoir honteusement perdu la partie et perdu la face en même temps.


C'est un manque de sportivité , manque de fair-play. Le mieux à faire est de
les ignorer et de continuer à oeuvrer pour la réconciliation des communautés PN et Algériennes . La meilleure chose à faire - dans le cadre de la réconcilaition des esprits- est que
l'organisation des Anciens Combattants Français organise des circuits touristiques en Algérie , sous l'égide du Ministère du Tourisme Algérien (SONATOUR ou ALTOUR) et là, croyez moi ,
Monsieur Dandelot , c'est une paire gifles que vous administreriez à ces nostalgiques d'une période révolue.