André Malet : Lorsque j’ai vu le montage "Nementcha" de Jean-Marie Coupriaux j’ai pensé que je pouvais moi aussi témoigner sur cette époque troublée, apporter une vision complémentaire de cette guerre d’Algérie qui ne portait pas son nom. L’ayant vécu, j’ai donc ouvert la valise aux souvenirs, les diapositives kodachrome avaient conservé toutes leurs couleurs, il n’y avait plus qu’à redonner vie à ces images vieilles de 50 ans.
C’est donc mon histoire personnelle, celle d’un jeune homme un peu rêveur, un peu rebelle qui se retrouve par hasard appelé dans un régiment de parachutistes, pas de « têtes brûlées », simplement des jeunes gens de tous milieux, déboussolés, solitaires, se sentant oubliés de tous et faisant face au danger au milieu de paysages désertiques et sublimes.
Ma guerre d’Algérie
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http://www.montageaudiovisuel.fr/spip.php?article41
Jean-Marie Coupriaux
NEMENTCHA - Algérie 1958
« Nous avions 20 ans . . . »
1958 : 50 ans plus tard je vous dis ce qu’a pu être notre participation à la guerre d’Algérie , et ce que nous avons pu ressentir. J’ai fais toutes les photos en 1958 (avec un appareil Foca 24x36 et des diapositives Kodakrome) à Bône et dans les Nementcha
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http://www.ecoutevoir.fr/nementcha.html
Qui de nous sera frappé ?
« Nous avions 20ans . . . »
Dans « Nementcha, Algérie 1958 » je disais ce que la guerre d’Algérie avait pu être pour nous, les appelés.
Et, dans les familles, l’anxiété, l’attente, l’interrogation…
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