Suite à nos deux articles consacrés à l'assassinat par l'OAS de Roger Gavoury voici une vidéo explicite sur l'organisation terroriste et criminelle

Dans cette vidéo vous allez pouvoir entendre et voir

les deux fils de Roger Gavoury :

Jean-François et Christian Gavoury

(c'est la raison pour laquelle nous diffusons cette vidéo)

Vous allez pouvoir entendre et voir aussi : 

plusieurs anciens responsables de l'OAS

qui essayent d'expliquer leurs crimes

mais qui ne regrettent rien et qui tentent de se faire

réhabiliter auprès d'un Etat bienveillant

notamment en cherchant à faire améliorer

la loi du 23 février 2005 (article 13)

qui accorde des indemnités forfaitaires aux rapatriés

et pour les terroristes et criminels aussi

 l'OAS responsables de  2200 à 2700 victimes civiles et militaires

françaises et algériennes

dont  la solution finale était de renverser la République Française

et de tenter d'assassiner à deux reprises le chef de l'Etat

responsables de la manifestation interdite du 26 mars 1962

rue d'Isly à Alger 

(HONTE A CES TERRORISTES ET CRIMINELS) 

A la fin de cette vidéo en cliquant sur l'autre vidéo appelée (L'OAS rincée par la République) dernière vidéo de la liste sur 15 vous allez comprendre jusqu'où peuvent aller les politiques hélas de tous bords pour obtenir les voix des rapatriés et voir et entendre François Nadiras un responsable

 de la Ligue des Droits de l'Homme (Section de Toulon) 

 

Article publié par la Ligue des Droits de l’Homme

 Condamnations pour diffamation de la mémoire du commissaire Roger Gavoury, mort pour la France

Jean-François Gavoury, fils du commissaire Roger Gavoury assassiné à Alger le 31 mai 1961 par un commando de l’OAS, nous fait part des lourdes condamnations prononcées par le tribunal correctionnel de Créteil, le 6 novembre 2009, pour diffamation envers son père.

Espérons que ces sanctions mettront un terme aux injures faites à la mémoire des victimes de l’OAS, et aux initiatives visant à l’apologie de l’organisation terroriste.

Jean-François Gavoury se propose d’utiliser le produit des dommages et intérêts auxquels les prévenus ont été condamnés au développement de projets liés au combat que mène l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS – ANPROMEVO – dont il est le président-fondateur.