/fdata%2F3836606%2Favatar-blog-1154950959-tmpphpL5DpNX.jpeg){kind=avatar}
Malgré une lettre de notre ami Henri Pouillot au ministre de la Défense Hervé Morin, lettre que nous avons diffusée sur notre blog, (voir lien ci-dessous) sous le titre :
Un scandaleux "hommage" au Colonel Château-Jobert
N'ayant pas eu de réponse du ministre Hervé Morin, notre ami Henri Pouillot s'est alors adressé au chef d'Etat Major des Armées, l'amiral Edouard Guillaud qui a pratiqué, comme le ministre de la Défense, la politique de "l'autruche" : pas de réponse - mais qui dit rien consent
Finalement seule Mme Martine Lignières-Cassou députée, maire de Pau a répondu à notre ami Henri Pouillot en ces termes :
Réponse de la Députée, Maire de Pau
Au sujet du Colonel Château-Jobert
Dès mon interpellation, son Directeur de Cabinet me répondait par internet le 12 octobre dernier :
Martine Lignières-Cassou ne se rendra pas à l’inauguration de cette stèle.
Partageant votre préoccupation, elle va interpeller le ministre de la défense à ce sujet.
Cordialement
Par lettre, le 13 octobre elle me répondait :
Monsieur,
Vous m’avez fait part de vos observations concernant l’inauguration officielle d’un monument à l’effigie du Colonel Château-Jobert à l’École des Troupes Aéroportées de Pau (ETAP), le 22 octobre 2010.
J’en ai fait part au Ministre de la Défense.
Je vous communiquerai toute réponse qui me sera donnée.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.
Bien à vous.
Martine Lignières-Cassou Députée-Maire de Pau
Inauguration du buste du Colonel "Conan" Château-Jobert le 22 octobre 2010 à Pau : LA HONTE
1961
le NIGER, il se solidarise avec les officiers du PUTSCH ce qui lui vaut plusieurs mois d’arrêts de forteresse.
Le 13 janvier 1962
affecté à l’état-major de Cherbourg, il rejoint clandestinement l’Algérie et l’OAS. En charge du Constantinois, il y retrouve le lieutenant Michel Alibert et y noue, en vue de leur ralliement, de nombreux contacts avec des officiers supérieurs et subalternes des régiments qui y sont stationnés, 13e Dragons, 6e Cuirassiers et 2e REC
- Le général Multrier, commandant de la zone Est Constantinois dira : « l’OAS progresse vite dans le Constantinois quand Château-Jobert en prend la tête ». Désapprouvant les « Accords Susini-Mostefaï », il quitte l’Algérie le 30 juin 1962 à bord d’un cargo qui le ramène en métropole. Clandestin, en France et en Espagne, il continue son combat.
en 1965
il est condamné à mort par contumace. Il réapparaît à Morlaix le 3 novembre 1968, après la première amnistie de juin 1968. Il poursuit son action aux plans politique, social et spirituel en publiant plusieurs ouvrages d’analyse et de réflexion.
Compagnon de la Libération n’ayant pas voulu devenir Compagnon de la Capitulation
2ème classe en 1936 et Colonel en 1956
Commandant OAS du Constantinois
Condamné à mort par contumace
Dans l’enceinte de l’Ecole des Troupes Aéroportées, à Pau, le 22 octobre dernier. Devant un détachement de paras, en présence de 200 anciens de l’UNP.
Cérémonie organisée par Jean-Philippe Lemaire (ADIMAD/UNP) et qui a été à l’origine de l’idée et de la collecte des fonds nécessaires. En présence du Général Piquemal, Président de l’UNP et ancien patron de la Légion Etrangère et du Colonel commandant l’ETAP !
16 membres de l’ADIMAD étaient présents ainsi que notre bannière et notre drapeau !
Gloire à Conan !
Semper fidelis
JF Collin
Pour « Notre Journal » : Mora
Les deux derniers individus (Collin et Mora) et bien d'autres, se font particulièrement remarquer comme des "meneurs" qui rendent hommage, à toutes occasions, à des anciens OAS, condamnés à mort et certains fusillés : HONTE A VOUS !!! HONTE A CEUX QUI AGISSENT COMME A CEUX QUI LAISSENT FAIRE