Jean-François Gavoury pendant le congrès du Comité de Paris
de la FNACA
- à l’attention de Mesdames et Messieurs les amis et correspondants
de l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS (Anpromevo) –
Paris, 24 décembre 2013.
Il en est pour qui la veille de Noël aura, cette année, une résonance particulière, peut-être moins festive qu’à l’accoutumée, parce que leur propre état de santé ou celui de l’un de leurs proches les privera d’une partie au moins du plaisir de ces moments partagés.
Il en est pour qui le message de Noël est brouillé par la disparition récente d’une mère, d’un père, d’un mari, d’une fille, d’un gendre, d’un ami, …
Je leur dédie mes pensées de ce jour.
Aux autres, heureusement les plus nombreux, mais dont je sais parfois les préoccupations, je souhaite de profiter au mieux de cette trêve.
En toutes sympathie et fraternité.
Jean-François Gavoury